Évènements thématiques

🎅 Noël est derrière nous, et nous sommes déjà nostalgiques !

🎅 Noël est derrière nous, et nous sommes déjà nostalgiques ! 1536 1536 Twelve Consulting

Comme nos Twelveurs n’ont pas pu fêter Noël dans nos locaux cette année, nous avons amené les festivités chez eux ! ✨

🥳 Chaque Twelveur a ainsi reçu une boîte apéro à domicile pour trinquer ensemble à la fin de l’année 2020. Une soirée riche en émotion avec l’ouverture des cadeaux du #SecretSanta, l’annonce des promotions et des augmentations et la découverte du « pestacle » des associés qui nous a permis de constater que le ridicule ne tuait toujours pas cette année 😄

Un excellent moment partagé autour de jeux et de discussions pour se retrouver et préserver notre belle cohésion d’équipe ! ❤️

🤝 Twelve Consulting x Lightforce Project : un duo de choc pour Madagascar !

🤝 Twelve Consulting x Lightforce Project : un duo de choc pour Madagascar ! 1536 1536 Twelve Consulting

En 2020, #Lightforce a donné l’opportunité à nos Twelveurs de participer à leur projet humanitaire à Madagascar afin d’équiper des écoles de villages isolés en lampes rechargeables.

La situation sanitaire étant ce qu’elle est, l’équipe #LightforceMada a voulu, en attendant de pouvoir s’y rendre, aider 4 villages autour d’Antananarivo en organisant la distribution les 23 et 24 décembre de :
– 360 lampes solaires ☀️
– 360 poules pondeuses 🐔
– 360 cahiers et stylos 📝
– 360L d’huile d’olive 🌴
– 360 paquets de gateaux 🍰

👏 Un grand merci à Frédérique GABRIEL-WATKINSGaultier Dumas et nos Twelveurs – Claire Dupuis et Léonard LALL – ainsi qu’à toute l’équipe Lightforce !

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Collecte de dons : Impact de la crise sanitaire & Réactions des associations

Collecte de dons : Impact de la crise sanitaire & Réactions des associations 8192 5004 Twelve Consulting

Chaque année depuis maintenant 19 ans, se tient le rendez-vous incontournable des acteurs de la collecte de fonds, organisé par l’Association Française des Fundraisers. Une fois n’est pas coutume, l’évènement a bien eu lieu les 23, 24, 25 et 26 juin autour d’un format innovant et 100% digital. Plus de 900 e-participants se sont réunis (confortablement installés chez eux) pour assister à des ateliers, des tables rondes ou encore des Lunch Lab animés par 70 intervenants venus des quatre coins de la planète.

Twelve Consulting a eu la chance de se glisser dans les coulisses de cet évènement historique et nos 4 Twelveuses de choc Amélie, Dorra, Laure et Rosine nous donnent leurs retours d’expérience sur les tendances du fundraising en France.

Contre toute attente, la crise n’a pas entamé la générosité des français.

Depuis 2014, nous observons une hausse globale des collectes de fonds au profit des associations avec un pic de donations record en 2017, qui n’a plus été égalé depuis. Contre toute attente, la crise n’a pas entamé cet élan. Malgré une baisse du PIB de 20% entre Mars et Avril, les français n’ont pas hésité à mettre la main au porte-monnaie pour soutenir les causes dans le besoin.

Certains donateurs habitués se sont retrouvés dans l’incapacité de participer à la hauteur de leurs habitudes. Les associations ont donc volontairement adapté leur communication pour ne pas viser les secteurs les plus en difficultés comme l’hôtellerie ou le tourisme.

A l’inverse, cette situation inédite a fait naitre de nouveaux donateurs jusqu’alors plus timides sur la scène du fundraising.

Les associations ont redoublé d’imagination pour toucher les entreprises et les Millenials pour en faire de véritables partenaires. Avec des montants plus généreux mais surtout une véritable relation association/entreprise construite dans la durée, le mécénat s’est beaucoup intensifié pendant la crise. Ainsi, Médecin Sans Frontière compte 30 nouveaux mécènes dont un de plus de 1,5 millions d’euros. Les entreprises souhaitant aller au-delà d’un soutien financier se tournent également vers le mécénat de compétences, qui se veut plus engageant. Il permet aux associations de bénéficier d’un appui humain venant du mécène, pour acquérir de nouveaux savoir-faire et ainsi consolider ou développer leur activité. Loin de ne bénéficier qu’aux associations, cette pratique produit un impact très positif pour les entreprises, qui permettent à leurs employés de concrétiser leurs désirs d’être utile à la société.

Le digital : le nouveau moteur du fundraising

Confinement oblige, les dons en ligne ont connu de beaux jours ces derniers mois. L’UNICEF enregistre ainsi une collecte trois fois plus élevée que l’année dernière pendant cette même période. Le digital est un enjeu majeur que les associations ne peuvent désormais plus remettre à plus tard, tant les opportunités qu’offre ce canal sont importantes. La crise fut malheureusement révélatrice de la fragilité de certaines structures n’ayant pas pris le pas de la digitalisation. Pour pallier cet écart, de nombreuses start-ups ont déjà investi la scène du fundraising, proposant des solutions innovantes de mises en relation associations/entreprises (Wenabi, Vendredi, Marius Conseil) ou encore de nouveaux moyens de collecte digitalisés. De plus gros acteurs proposent également des solutions intégrées, comme Salesforce.org, qui offre des outils connectés afin de gérer au mieux ses collectes de fonds et de renforcer sa communication auprès de ses adhérents.

Prendre le virage du numérique, c’est donc faire le pari d’attirer de tout nouveaux publics afin de fédérer et construire une véritable communauté de donateurs autour d’une cause commune. Bercés dans la culture du digital depuis leur tendre enfance, les Millenials se sont révélés être de vrais donateurs en herbe ces derniers mois. En effet, même s’ils n’ont pas encore les moyens de leurs ainés, ils font tout de même partie d’une génération particulièrement consciente et concernée, toujours prête à se mobiliser. En atteste la situation que nous traversons, 50% des donateurs liés à la crise sanitaire ont moins de 35ans. Très actifs au sein des nouveaux médias tels que les réseaux sociaux, les Millenials sont pour les associations un moyen sûr de diffuser leurs valeurs mais également d’assurer la pérennité de leur message. Leur engagement et leur influence font donc de cette cible un relai idéal, en particulier pour réussir à toucher leurs aînés, à l’écoute de leurs revendications.

Twelve aux côtés des associations 

Chez Twelve les Millenials représentent la plus grande part de nos effectifs et nous avons à cœur de défendre leurs valeurs. Nous avons la chance d’accompagner depuis plusieurs années des associations françaises et internationales de toutes tailles dans la digitalisation de leurs relations avec les donateurs et les bénévoles. La crise économique nous a permis d’accélérer notre investissement auprès des associations à travers une nouvelle mission de mécénat de compétences. Nous accompagnons la fondation Foch dans la mise en place d’actions garantissant la bonne utilisation de leurs fonds collectés, suite à l’obtention du label « Don de confiance ». Nous mettons également nos compétences en termes de communication à disposition de l’association Huntington dans sa récolte de dons en faveur des patients atteint de cette maladie.

 

Si vous souhaitez échanger avec nous sur ce sujet qui nous passionne, n’hésitez pas à nous écrire, nous nous ferons un plaisir de vous rencontrer : amélie.landry@twelve-consulting.com et laura.ohana@twelve-consulting.com

 

*Les chiffres proviennent du 7ième baromètre e-donateurs – 2010-2020 et de France générosité

Scène du VivaTech 2018 - Paris

VivaTech 2018

VivaTech 2018 4032 3024 Twelve Consulting

Après quelques heures passées à VivaTech, je vous livre mes premières impressions sur les tendances constatées cette année.

Ayant participé à un certain nombre de conférences technologiques (CES, Dreamforce…), je dois avouer avoir été impressionné par la qualité des conférences auxquelles j’ai eu l’occasion d’assister : en un après midi, j’ai pu écouter Ginni Rometty (IBM), Bill McDermott (SAP), Chuck Robbins (CISCO), Satya Nadella (Microsoft), Dara Khosrowshahi (Uber) et Marc Zucherberg (Facebook). Une telle concentration de dirigeants, porteurs d’une vision (qu’on partage ou non) et dans un format très adapté (Firechat de 15 à 30 minutes) était un événement unique au monde.

Sur le fond, la grande tendance du moment me semble être le développement du collaboratif et de l’intelligence collective. Il ne s’agit pas à proprement parler d’une nouvelle tendance mais le changement réside dans le fait que nous sommes en train de sortir du concept et des bonnes intentions, pour aller vers la mise en œuvre concrète du travail collaboratif à une très grande échelle.

Ce passage à l’échelle est rendu possible par le développement de l’intelligence augmentée (terme que je préfère à l’intelligence artificielle).

En analysant les compétences disponibles et les données sur les expériences et les projets déjà réalisées dans les entreprises, l’intelligence augmentée permettra la mise en place des groupes de travail plus efficaces, qu’il s’agisse des projets ou des taches à réaliser au quotidien.

VivaTech 2018 - The rise of the intelligent Economy

VivaTech 2018 – The rise of the intelligent Economy

L’intelligence augmentée était au cœur de nombreuses discussions avec notamment l’interrogation sur le danger que pourraient représenter le développement de l’autonomie des machines dans la prise de décisions (les amateurs de la suite des Terminator savent de quoi je parle).

La réponse la plus pertinente et en même temps la plus drôle était certainement celle de Yann Le Cun, en charge IA chez Facebook, pour qui la volonté de domination et de prise du pouvoir n’est justement pas un signe d’intelligence (une allusion a peine masquée au président américain actuel) mais d’un comportement ancré dans la nature / culture humaine qu’il sera impossible de reconstruire dans une machine.

La concomitance entre l’entrée en vigueur de la RGPD et de Viva Tech a placé la question de la gestion des données personnelles au cœur des débats. Sans apporter des solutions complétement aboutis, les startups investissent le domaine pour imaginer les solutions pour que chacun redevienne propriétaire de ses données et décide des frontières numériques qu’il souhaite établir avec les autres

 

Sadik Filipovic, associé chez Twelve Consulting

Sadik Filipovic, associé chez Twelve Consulting

   

CES 2018 - Article 3 - Entre attentes et réalités

Le CES, entre attentes et réalité

Le CES, entre attentes et réalité 941 443 Twelve Consulting

Cette année, et pour la 2ème année consécutive, une équipe de 5 Twelveurs est partie à la conquête de l’Ouest américain, pour découvrir de nouvelles technologies, de nouveaux usages, s’inspirer, rencontrer des entrepreneurs innovants des quatre coins du monde… Malheureusement, notre soif de découverte n’a pas été pleinement satisfaite et nous n’avons pas eu l’effet WAHOOUUU tant attendu. Malgré tout, nous avons adoré ce voyage, et si vous nous posez la question : OUI, nous y retournerons sans hésitation.

 

La veille et l’expérimentation en avant-première

On ne va pas au CES pour découvrir l’innovation du siècle, mais c’est l’occasion de tester en avant-première des technos pas encore commercialisées aujourd’hui, qui sont apparues très récemment dans nos rayons, ou des versions améliorées de technos existantes.

Cette année, il y avait 24 thématiques regroupées en 9 grandes catégories au CES, réparties sur 255 000 m2 d’exposition. Cette semaine au CES est d’ailleurs probablement notre semaine record en termes de nombre de pas (26 000 pas par jour en moyenne selon mon appli santé) !!!

Le CES nous a permis de tester des usages qui seront sans doute demain le quotidien de nos clients. Parmi ceux-ci on retrouve :

  • Les objets connectés et leurs applications dans notre quotidien (en ville, à la maison, dans la cuisine, pour notre santé, nos enfants, nos parents, …)
  • La généralisation des assistants vocaux
  • Les petits robots de plus en plus attachants trouvant leurs usages dans le maintien à domicile
  • L’importance des réalités augmentées et virtuelles et leurs applications en santé, sport, éducation, culture (avec la startup Histovery par exemple), etc…

L’expérience était intéressante, mais pas parfaite pour autant. Nous aurions aimé avoir accès simplement à une information orientée veille (plutôt que vente) sur les différents secteurs : les chiffres clés, évolution du secteur, tendances, innovations de rupture, acteurs à ne pas manquer, par exemple.

De même, nous aurions préféré voir regroupés les acteurs d’un même secteur au même endroit (et éviter la dichotomie startups vs. grands groupes). Cela permettrait de :
1) Faciliter le réseautage au sein d’un même secteur en mixant gros, petit, technos, services et
2) Eviter de parcourir des kilomètres pour faire le tour d’une thématique. Par exemple, si vous étiez intéressé par la santé, il y avait de quoi faire sur les 3 sites différents : le Convention Center, le Sands Expo et le Tech South, tous éloignés de quelques kilomètres les uns des autres … de quoi faire grimper le compteur de pas !

Enfin, nous aurions aimé trouver cette distinction entre l’innovation incrémentale (la 5G, la TV 8K) et l’innovation de rupture pour ne pas passer à côté DU truc dingue à voir absolument !! Mais est-ce vraiment au CES qu’il faut chercher ces révolutions technologiques ?

 

La constitution de souvenirs communs

Le CES est un événement fédérateur qui nous a permis de partager des moments forts en dehors des murs de l’entreprise et de la routine professionnelle de chacun. Nous avons partagé des situations insolites et profité de ce CES pour nous créer des souvenirs communs : randonner dans des parcs naturels sublimes, assister au concert de Céline Dion, faire la fête au Caesars Palace, jouer gagner rejouer puis perdre à la roulette et au black jack, s’émerveiller devant le kitsch et le clinquant de Las Vegas à l’approche du nouvel an chinois… bref de belles expériences entre collègues.

Passer une semaine complète ensemble était une très bonne occasion d’apprendre à mieux se connaître et d’échanger sur nos bonnes pratiques au travail, sur nos missions et donc de s’enrichir de l’expérience des autres.

 

La French Tech et l’écosystème Français

Avec 365 exposants, dont 275 start-ups, la France était la 2ème délégation la plus représentée au CES, juste derrière les Etats-Unis. Le CES était donc l’occasion rêvée pour découvrir, voir ou revoir l’écosystème de la French Tech et échanger avec des entrepreneurs français dans un cadre atypique, détendu et fun.

En bons français que nous sommes, et amateurs de vin, nous avons bien évidemment craqué pour l’aérateur de vin connecté de la start up Aveine.

 

Conclusion

Voilà, en résumé, le fruit de notre expérience. Le nombre de stands donne le tournis, il y a probablement beaucoup de stands qui ne valent pas le détour, mais le CES donne une bonne idée des technologies mondiales concentrées au même endroit au même moment.

Pour finir, quelques conseils pour optimiser votre semaine là-bas dans le cas où vous souhaiteriez vous y rendre :

  • Ciblez vos thématiques de veille. Si vous y allez à plusieurs répartissez-vous les sujets, vous ne pourrez pas tout voir.
  • Préparer votre visite : glanez de l’information en amont, checkez les linkedIn et publi des speaker, planifiez vos conférences (attention aux distances entre chaque lieux

Restez ouverts, testez, participez aux events, et éclatez-vous à Las Vegas !!

Camille Abadie - Senior Consultante chez Twelve Consulting, cabinet de conseil spécialisé dans l'expérience client

Camille Abadie

chez Twelve Consulting, cabinet de conseil spécialisé dans l’expérience client.

CES 2018 - Article 3 - Entre attentes et réalité

CES 2018, Episode 2 : Les technologies sensorielles

CES 2018, Episode 2 : Les technologies sensorielles 3264 2448 Twelve Consulting

Il y a 2 mois , je découvrais, dans le cadre du CES de Las Vegas, la folie américaine dans toute sa splendeur : Tours en or, faux ciels bleus, fontaines dignes de Versailles, reproductions de monuments célèbres… Je m’attendais à retrouver cette « folie » au salon. Mais qu’en a-t-il été réellement ?

 

Un salon à destination des commerçants

Sans vous spoiler notre prochain article, le CES est avant tout un salon où les commerçants viennent pour tester des produits et sélectionner les meilleurs pour leur prochain catalogue. On trouve de tout, mais les surprises sont assez rares car les améliorations technologiques ne provoquent pas l’effet WAHOU que le client recherche (on passe de la 4K à 8K pour les TV !! Youhouhou… ).

Pour autant, rétrospectivement, un fait m’a tout de même frappé : l’omniprésence de technologies faisant appel à nos sens pour offrir de nouveaux services.

 

Le langage et la vue en complément du toucher

Avec la démocratisation des smartphones/tablettes en tous genres, les services « touch » se sont (dé)multipliés ces 15 dernières années.

Le toucher, notre sens exploratoire, était parfaitement adapté à être le précurseur de nouveaux services et nouvelles formes d’interactions. Seule difficulté, ce sens requiert un intermédiaire technologique (smartphone, manette…) pour transformer le tactile en information or nous ne sommes pas tous égaux face à ces objets, notamment en fonction de l’âge.

Nous avons ainsi constaté qu’un grand nombre d’exposants du CES se tournent vers de nouvelles formes d’interactions afin de simplifier l’expérience client et utiliser au mieux chaque récepteur sensoriel pour pousser de l’information et des services adaptés et personnalisés à chaque client.

 

Analysons de plus près les nouveaux services proposés par canal sensoriel :

  • Le GOÛT et l’ODORAT: Ces 2 sens sont étroitement liés et sont tous deux liés à des aires cérébrales qui influent sur nos besoins primitifs mais également nos émotions. Concernant le goût, nous distinguons 4 saveurs et nos papilles gustatives ne sont pas les plus adaptées à recevoir des informations à fortes valeurs ajoutées. En revanche, l’odorat intéresse particulièrement, et de plus en plus, nos amis du marketing.

Par exemple, des startups spécialistes de la construction de parfums proposent de faire vivre des expériences « émotionnellement immersives » aux utilisateurs : le client d’une cave à whisky et hésitant entre plusieurs bouteilles serait en mesure de « goûter » chaque bouteille, sans les ouvrir, grâce à une reconstitution du parfum de chaque bouteille

  • L’OUÏE : Détaillé dans l’article de Sadik Filipovic, ce mode d’interaction est très prometteur et intuitif (surtout pour des interactions courtes) mais encore limité par l’apprentissage d’une langue (cf. Alexa d’Amazon qui peine à apprendre la langue de Molière).
  • La VUE : « Le cerveau analyse 50 à 100 images par seconde mais pourrait en traiter 300 ». En comparaison au langage dont le débit est de 5 mots lus en moyenne par seconde (3 prononcés), on comprend tout de suite qu’une expérience immersive ou augmentée permet de pousser beaucoup plus d’informations à un utilisateur en 1s que ce que permettrai la voix dans le même temps.

Les cas d’usage se multiplient : apprendre en revivant des grands moments de l’Histoire, éduquer sans danger, guide de procédure en temps réel…

On se rend cependant vite compte que pour que l’expérience soit satisfaisante, il nécessite d’importants investissements en terme de graphisme.

 

Demain… des technologies pluri-sensorielles ?

En conclusion, certes les technologies liées à la voix étaient dominantes au CES. Mais il ne serait pas surprenant que d’autres liées à la vue (réalité augmentée, réalité virtuelle…) prennent de l’ampleur dans un avenir proche et que des usages multi-sensorielles voient le jour prochainement. Des rumeurs circulent d’ailleurs sur d’hypothétiques lunettes connectées en cours de développement chez Google et Apple. Ces lunettes pourraient être vendues à grande échelle et devenir les remplaçantes des défuntes Google Glass qui n’étaient au final qu’un prototype testé à petite échelle. De là à y intégrer un diffuseur de parfums, un micro et une oreillette… ça ferait sens !

Évènement E-santé par Twelve Consulting sur la page Accueil, section les Rencontres

Petit-déjeuner santé numérique

Petit-déjeuner santé numérique 1800 1350 Twelve Consulting

Logo Leadup Santé

Logo Twelve Consulting

Nous avons co organisé, avec Leadup Médical Network, agence de conseil en stratégie et communication médicale , le 7 décembre 2017 un petit-déjeuner thématique sur la santé numérique. Les principaux sujets abordés étaient : comment faire de votre transformation digitale un formidable challenge, source de cohésion globale et de motivation individuelle ? Guider les décideurs pour innover ? Dessiner de nouveaux modèles économiques ? Inventer de nouveaux usages pour mieux servir vos clients ?

 

Au programme :

Placer l’expérience patient au cœur de la création de valeur
avec Philippe Thébault, président association « Alliance du cœur »

Concevoir des services utiles
Jérémy Daclinat, Manager Twelve Consulting

Instaurer un cadre de confiance
Isabelle Zablit-Schmitz, Administrateur de Syntec numérique

Délivrer vite et simplement

Géry Pruvost, Directeur Bepatient

 

Découvrez notre vidéo « Comment intégrer l’expérience client ?

 

Petit déjeuner MIFID 2

Petit-déjeuner MIFID 2

Petit-déjeuner MIFID 2 1024 768 Twelve Consulting

En juillet 2017, nous organisions un petit-déjeuner thématique : Profitez de MIFID2 pour faire vivre une belle expérience à vos clients ! » Une approche originale guidée par l’expérience client dans le respect des obligations réglementaires. Avec la participation de la Fintech Neuroprofiler et son outil innovant de profilage de risque.

Les thèmes abordés étaient :
Voyez la réglementation sous un nouveau jour !
Comment mieux servir vos clients tout en respectant vos obligations ?
Comment les rendre acteurs de la mise à jour de leurs données ?

 

Justice prédictive avec Christophe Amouroux

Justice prédictive et automatisation des procédures : les professions juridiques doivent être repensées à l’ère du digital

Justice prédictive et automatisation des procédures : les professions juridiques doivent être repensées à l’ère du digital 1024 768 Twelve Consulting

Vendredi 30 juin se tenait au Musée de la Chasse une table ronde organisée par Lexavoué (société d’avocats spécialistes des procédures civiles et commerciales) au sujet des legaltechs. Avocats, universitaires, magistrats, consultants et éditeurs de solutions étaient réunis pour débattre et évaluer l’impact des technologies sur les professions juridiques. Christophe Amouroux, président de Twelve Consulting participait à cette table ronde. A têtes reposées, Christophe et Pierre prennent la plume pour nous restituer les idées fortes issues de cette rencontre et nous donnent leur opinion.

 

Les professions juridiques sont vouées à changer sous l’impulsion des nouvelles technologies. Parmi les professions impactées, le métier d’avocat va connaître d’importantes mutations dans les années à venir. Les progrès technologiques vont permettre d’automatiser les tâches simples mais chronophages. Cette évolution permettra à la profession de retrouver du bon” temps, celui passé avec les clients, correspondants et juridictions pour apporter le plus de valeur possible à son écosystème. Les effets sont pour l’instant flous mais certains craignent une compression des honoraires et des emplois à faible valeur ajoutée sous l’effet d’une uberisation de la profession par les legaltechs.

 

Le développement des legaltechs est le résultat d’une évolution des usages. La plupart des services sont désormais accessibles depuis un mobile. Commander un repas, un film ou un chauffeur privé n’ont jamais été aussi simples. La prise de contact avec un avocat sera potentiellement simplifiée : l’Intelligence Artificielle (IA) pourra aider le client à qualifier son besoin en langage naturel, puis le ré-orienter vers le bon avocat. Les domaines d’application des legaltechs ne manquent pas : notation des avocats, aide au choix (en accédant notamment à leur track record, leur taux de réussite). Notons cependant qu’un phénomène de polarisation pourrait apparaître : les bons avocats seraient très courtisés tandis que les moins bons et les jeunes auraient plus de mal à développer leur activité.

 

Les Etats-Unis, pionniers dans le domaine des legaltechs. La justice américaine repose dans une très large mesure sur la jurisprudence bien plus qu’en France d’où le recours désormais quasi systématique à la justice prédictive en vue de simuler les décisions de justice. Les avocats américains ont également recours à des logiciels de stratégie de contentieux qui permettent de voir l’historique des affaires d’un adversaire, d’avoir des données sur les décisions des juges en cour, ou encore d’effectuer des projections dynamiques de stratégies. Des opportunités de développement existent également en France pour les legaltechs avec la résolution amiable des conflits qui nécessite la prise en considération d’une pluralité de facteurs (économiques, psychologiques, etc.).

 

Si la machine juge, qui va surveiller la machine ? La technologie n’est certes qu’un outil mais néanmoins le reflet d’une pensée traduite au travers des algorithmes. La justice ne doit pas être asservie par ses algorithmes et il convient donc de mettre en place des garde fous afin de s’assurer que la technologie reste au service du droit. Plus qu’une surveillance des développeurs, ce qu’il convient de mettre en place c’est surtout des échanges entre les professions juridiques et les équipes de développement afin d’augmenter l’efficacité des outils.

 

Un changement inéluctable à anticiper et accompagner. Rien ne sert de résister au changement, il est plus pertinent de l’accompagner afin de rendre le travail des machines complémentaire à celui des Hommes. La valeur ajoutée des avocats réside toujours dans la capacité, actuellement inégalable par les machines, à sérier un problème et à savoir comment structurer la question à poser à la machine. La machine n’a donc pas vocation à se substituer au travail du professionnel, elle peut en revanche permettre d’effectuer des gains de productivité qui peuvent être ré-investis pour davantage d’humain.

Les legaltechs ont un impact sur les métiers juridiques tout comme les fintechs, insurtechs et autres healthtechs ont un impact sur leurs secteurs. Selon Laurent Alexandre, les métiers de demain seront complémentaires à l’IA ou ne seront pas. Voyons ce changement comme une opportunité de remettre l’intelligence relationnelle au coeur de notre société, et accompagnons le mouvement en adaptant l’enseignement de nos enfants et de nos étudiants. Il est temps de réfléchir à des modes alternatifs d’enseignement (Montessoris, Steiner, Freinet, Ecole 42…). 

 


Christophe Amouroux

Président chez Twelve Consulting

 

 

 


Pierre Rognion

Senior Consulting chez Twelve Consulting

 

 

Petit Déjeuner Mutuelles et Assurances organisé par Twelve

Petit Déjeuner Mutuelles et Assurances organisé par Twelve

Petit Déjeuner Mutuelles et Assurances organisé par Twelve 630 452 Twelve Consulting

Le 5 novembre dernier, Twelve Consulting organisait son premier Petit Déjeuner au 12Presbourg sur le thème de l’impact du digital sur les clients dans le secteur des mutuelles et de l’assurance. Un évènement dont l’objectif était de réunir une trentaine de décideurs pour prendre un peu de recul et comprendre les tendances du marché, tiré par les nouveaux besoins clients. Qu’attendent les clients ? Quel modèle pour demain ? Quelles solutions technologiques les accompagneront ? Voici les questions que nous nous sommes posées lors de cet évènement avec nos partenaires Ailancy et Microsoft.

Cette rencontre nous a permis de partager un contenu riche dont vous pourrez retrouver ci-dessous quelques extraits. Mais également des témoignages plus qu’authentiques puisque nous avons nous-mêmes interviewé notre entourage pour synthétiser en vidéo les attentes de différents profils de clients !

Quelques pistes de réflexion sur le sujet :

« Les clients sont de plus en plus exigeants. La marge d’erreur pour les entreprises est faible car l’adoption est soit immédiate soit ratée. »

« L’assureur de demain est celui qui saura utiliser les technologies permettant d’exploiter l’intelligence des données, et ainsi gérer tous ses clients comme ses meilleurs clients »

« En parallèle, les clients attendent de plus en plus de personnalisation dans leur relation avec l’entreprise, alors que les entreprises elles-mêmes sont organisées et « processées » autour de catégories définies. »

« A l’instar de sa relation client, l’entreprise doit personnaliser sa relation avec ses collaborateurs. Les modes, rythmes et lieux de travail doivent s’adapter à chacun d’entre eux et non le contraire »

« Votre organisation doit permettre de faire cohabiter des cycles industriels longs, dans un souci d’optimisation de la qualité et des coûts, et des cycles d’innovation courts, pour rester proche de votre marché et suivre le rythme d’évolution des usages. Un processus de « désorganisation » constructif doit être mis en place. »

« L’assureur de demain devra être capable de devenir un intégrateur de services »

« Les assureurs vont devoir gagner la confiance de leurs clients afin d’aller au-delà d’une relation d’indemnisation, pour progressivement se positionner en tant de Coach et construire une relation durable basée sur la personnalisation. »

Retour en image sur ce premier Petit Déjeuner réussi ! Toute l’équipe tient à remercier chaleureusement les participants à cet évènement. Si vous souhaitez approfondir ces sujets avec nous, n’hésitez pas à nous contacter, nous nous ferons un plaisir de prolonger l’échange.

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